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The Bronsons : Interview

Publié le par Chris

The Bronsons : Interview

I told to you of them for the first time few weeks ago. They’re the first British band I’ve had the chance to meet during one of my travel in London. I spent an amazing night with them in the famous pub in Camden « The Dublin Castle ». The Bronsons have kindly agreed to answer for a serie of questions. I propose you to spend a little time in their compagny.

What characterizes each member of the band?

James is the showoff, which is probably why he ended up as the front man and doing most of the social media stuff as well.

Chas literally does nothing apart from play guitar. He has very clear ideas about what he likes and what he doesn't, and when new songs get rejected that's often Chas's work.

For a drummer, Carlos is relatively sane. He's also frighteningly good-looking, which is why the rest of the band likes to keep him hidden at the back.

Jorge is a professional sound engineer when he isn't playing bass for us. He joined the band in 2014 and is a perfectionist, the most like to say « let's try that again » in rehearsal.

Zara is Carlos's girlfriend and has been coming to rehearsals for a while. She first sang with us in 2013 in a recording studio and joined the band properly a few months later.

Giselle is our newest recruit and we are still getting to know her. She's added some real vocal power to the Bronsonettes and she and Zara are making a big difference now, especially on some of our newer material.

Why did you choose to call youresleves the Bronsons ?

With the kind of music we play and the kind of things we sing about, we wanted a name that would have some attitude and be a bit « in your face » and downbeat, but not too doom-laden or serious. We fixed on the actor Charles Bronson because he played loads of roles in not very good, grimy films where we has a hitman, a killer, a vigilante and so on, while in reality he was a man with a pencil moustache. That kind of off-centreness we liked – and it fitted our approach.

How came up the idea to create this band?

We first started in the eighties. The original members were James, Chas and Carlos, plus our other mates John and Mike. Most of us had been in bands before and we missed playing live. In fact the whole idea of The Bronsons was to have a live band, with no thoughts of being stars or making no. 1 records or anything, just purely about being on stage and playing music we liked.

Is there a band in particular that inspired you?

Our main inspirations were the bands we liked and went to see around the time we started up. There was a whole circuit in London of acts like The Inmates, Lew Lewis Reformer, The Pumphouse Gang, Eddie and the Hot Rods, all playing music based on 60s rhythm and blues and rock'n'roll. Add to that, of course, Dr Feelgood from a few years before; and also the whole punk thing which was all about a do-it-yourself attitude to music.

Do you write your songs all together or only one of you does?

Our set is a mix of other people's songs and stuff we write ourselves. The covers are usually pretty obscure and we play them our own way; the Bronsons original material is usually written by James, but our usual opener, RnBVille, which is almost a manifesto, comes from the 80s and was written by Chas and John, our harp player in the old days.

What are the main topics of your songs?

Drunkenness, crime, lust, jealousy, dancing, angst, hangovers, drugs and anything with a chip on its shoulder.

Who found the name of the band?

Can't remember whose idea the name was. It emerged at some point, probably during a long night in a pub somewhere.

How is the group original and dynamic?

There's a record company in London whose slogan is « Taking music backwards into tomorrow », and I think that sums us up too. The powerful thing about The Bronsons is that there is no posing or pretention. We play rhythm and blues, fast, direct and with total commitment. That may not be original but it's more rock'n'roll than a lot of the stuff out there today.

What else can you wish for?

We want to go on playing live, and play more often to more people. We are starting to build a following now, and if we get to the point where we can fill slightly bigger venues we'll be very happy with that. We don't want to be « huge » because that means playing places where you can't see the audience. Small, frenzied and hot is our aim!

We're also going to do a bit of recording later in 2015, so at some point there may be an EP around.

Je vous ai parlé d’eux pour la première fois, il y a quelques semaines. Ils sont le premier groupe anglais que j’ai eu la chance de pouvoir rencontrer pendant un de mes voyages à Londres. J’ai passé une fantastique soirée avec eux, au célèbre pub “The Dublin Castle”. Les Bronsons, ont gentiment accepté de répondre à une série de questions. Je vous propose de passer un petit moment en leur compagnie.

Qu’est ce qui caractérise chaque membre du groupe ?

James est le “m’as-tu-vue”, c’est probablement pour cela qu’il est devenu le leader du groupe. Il s’occupe aussi de la partie média.

Littéralement, Chas ne fait que jouer de la guitare. Il a des idées très claires concernant ce qu’il aime ou pas. Généralement lorsque l’on doit rejeter de nouvelles chansons, c’est le travail de Chas.

Carlos est relativement “sain d’esprit” pour un batteur mais il est aussi terriblement beau. C’est la raison pour laquelle, le groupe préfère le garder caché à l’arrière-plan.

Jorge est l’ingénieur du son professionnel, quand il ne joue pas de la basse avec nous. Il a rejoint le groupe en 2014. Il est aussi perfectionniste ; le plus susceptible de dire “ Recommençons ça encore” en répétition.

Zara est la petite amie de Carlos, elle est venue aux répétions pendant un certain temps. Elle a chanté avec nous la première fois pour un enregistrement en studio en 2013. Elle réellement rejoint le groupe, quelques mois plus tard.

Giselle est notre nouvelle recrue, nous apprenons encore à la connaître. Elle a apporté un réel pouvoir vocal aux Bronsonnettes. Elle et Zara font vraiment la différence spécialement avec le nouveau matériel.

Pourquoi avez-vous choisi de vous appeler les Bronsons ?

Avec le genre de musique que nous jouons et chantons, nous voulions un nom qui aurait une attitude un peu “dans ta face” mais pas trop de mauvaise augure ou trop grave. Nous nous sommes arrêtés sur l’acteur Charles Bronson parce qu’il a joué un tas de rôles dans des mauvais films sinistres où il est un tueur à gages, un justicier et ainsi de suite alors que dans la réalité, c’est un homme avec une moustache fine. C’est ce genre de décalage que nous avons aimé et qui s’adaptait à notre approche.

Comment est venue l’idée de créer un groupe?

On a commencé dans les années 80. Les membres originaux sont James, Chas et Carlos plus nos autres compagnons John et Mike. Pour la plupart, nous avions déjà fait partie de groupes et jouer en live nous manquait. En fait, toute l’idée pour les Bronsons, c’était d’avoir un groupe qui joue en live, sans penser à devenir célèbres ou n°1 des ventes. L’idée était juste se produire sur scène et jouer la musique que l’on aime.

Est-ce qu’il y a un groupe qui vous a inspiré en particulier ?

Nos principales inspirations étaient les groupes que nous aimions et allions voir quand nous avons commencé. Il y a tout un circuit à Londres avec des numéros comme The Inmates, Lew Lewis Reformer, The Pumphouse Gang, Eddie and the Hot Rods, ils jouent tous une musique basée sur le rythm’n blues et le rock’n roll des années 60. Ajoutez à cela, Dr Feelgood, bien sûr, quelques années auparavant ; et aussi tout ce qui allait avec le mouvement punk tout à propos de l’attitude « fais le toi-même » de la musique.

Est-ce que vous écrivez vos chansons tous ensemble ou il n’y a qu’une personne qui s’en charge ?

Notre ensemble est un mix de chansons d’autres personnes et de choses que nous avons écrit nous-même. Les reprises sont souvent assez obscures et nous les jouons de notre propre manière ; la “substance, matière” des Bronsons est habituellement écrite par James mais le morceau d’ouverture est plus un manisfeste qui vient des années 80. Il a été écrit par Chas et John, notre joueur de harpe de l’époque.

Quels sont les principaux sujets de vos chansons ?

L’Ivresse, le crime, la jalousie, l’angoisse, le désir, la danse, les gueules de bois, les drogues et le fait d’être aigri.

Qui a eu l’idée de créer le groupe ?

Je ne me rappelle pas le nom de celui qui a eu l’idée. Cela a émergé à un moment probablement lors d’une longue soirée dans un pub quelque part.

Qu’est qui fait que le groupe est aussi dynamique et original ?

Il y a une maison de disque à Londres qui a pour slogan “Prendre la musique d’hier pour la faire connaitre demain” (plus ou moins, c’est compliqué à traduire littéralement), je pense que cela nous résume assez bien. La chose puissante avec les Bronsons, c’est que nous jouons sans manières, ni prétentions. Nous jouons du rhythm’n blues, rapide, direct et avec un total engagement. Ce n’est peut-être pas original mais c’est plus rock’n roll que beaucoup de choses qui sortent aujourd’hui.

Qu’est-ce que l’on peut vous souhaiter pour la suite ?

Nous voulons continuer à jouer en live, plus souvent et pour plus de personnes. Nous avons commencé à construire un réseau maintenant et si nous arrivons à remplir des lieux légèrement plus grands, nous serons très contents avec cela. Nous ne voulons pas devenir “énorme” parce que cela signifierait jouer dans des lieux où nous ne pourrions pas voir le public. Petit, frénétique et chaleureux, c’est notre but !

Nous allons faire quelques enregistrements plus tard en 2015, donc arrivé à ce point, il se peut qu’il y ait un EP de prévu.

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